Les échanges au sein de nos différents réseaux s’inscrivent dans le principe de subsidiarité.
Comme pour toute la pensée sociale chrétienne, le principe de subsidiarité n’indique aucune recette ou solution toute faite. Dans Encyclique de Jean-Paul II, Sollicitudo rei socialis, 3, on nous donne « des principes de réflexion, d’écoute, des critères de jugement, des orientations pour l’action »; cela sur la façon dont les pouvoirs et les responsabilités peuvent être répartis dans notre société ou une école : comment mettre en oeuvre le
bien-commun ?
Ce mainen de notre bien commun est appelé à fructifier comme le suggère Jésus dans la parabole des Talents, en prenant des initiaves. Cela se développe grâce à la coopéraon de chacun qui oeuvre pour le bien de tous.
Mais avant tout, de quoi est fait votre bien commun? Qu’est-ce qui le compose?
Enfin, ce bien commun nous apporte la liberté de vivre notre caractère propre et nous offre l’espérance en la vie.